Espace Presse

Hier, un vautour fauve était relâché après des semaines de soins, de repos et de rééducation, un événement ouvert au public. Les éleveurs aveyronnais font régulièrement les frais d'attaque de l'animal sur des animaux en bonne santé, inacceptable, d'autant plus que ces attaques surviennent lorsque les animaux pâturent : un mode d'alimentation durable et adapté à nos territoires. La FDSEA et les JA demandent la vraie gestion du vautour fauve et non sa protection !

Bonjour, 

La nuit dernière la Brigade Loup a abattu un loup sur la commune de Séverac d’Aveyron, dans le cadre d’un tir de défense simple. Trois attaques successives avaient eu lieu sur la même exploitation en moins de 5 jours, laissant 17 brebis tuées ou grièvement blessées.

Dès la première attaque, la FDSEA de l’Aveyron, les JA et le président de la Chambre d’agriculture se sont mobilisés pour accélérer la procédure afin d’obtenir au plus vite les mesures de protection nécessaires à la sauvegarde l’élevage.

En Aveyron, depuis quelques semaines, les loups et vautours font de nombreuses victimes sur les troupeaux. Récemment, une dizaine d’attaques qualifiées officiellement Loup Non Ecarté ont eu lieu en Aveyron générant des dégâts non négligeables.
Dans un tel contexte, les éleveurs, chaque jour, sont terrorisés à l’idée de trouver des animaux blessés, déchiquetés, tués par les prédateurs.

Les responsables professionnels de la FDSEA et des JA se mobilisent devant la Préfecture mardi 3 juin à 14h30.

Mardi 3 juin, la FDSEA et les JA se sont mobilisés devant la Préfecture de Rodez pour dénoncer les attaques de loups et de vautours ! Le cadavre d’un veau victime d’une nouvelle attaque de loup dimanche sur la commune de Golinhac a été déposé devant les grilles de la préfecture. 

Le lundi 26 mai, les discussions à l’Assemblée nationale sur la proposition de loi dite « Duplomb » visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur, devaient débuter en séance plénière. Les députés avaient commencé leur travail parlementaire sur ce texte il y  a quelques semaines au sein des Commissions Développement Durable et Affaires économiques. Le contenu des débats ainsi que les propositions de ces deux instances, ont fait monter notre inquiétude sur la réelle volonté de simplification que pouvaient porter les parlementaires.

À l’occasion des 40 ans du label bio, la filière bio exprime sa profonde déception et sa vive inquiétude suite à la décision de la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, de supprimer le budget de communication de l’Agence Bio (5 millions d’euros) et de réduire drastiquement la dotation du fonds Avenir bio, qui passe de 18 à 8,6 millions d’euros pour l’année 2025.

Cet après-midi, les responsables de la FDSEA et des JA ont rencontré les parlementaires pour exprimer leur ras-le-bol et leur dégoût suite à l’étude, par la Commission du développement durable les 6 et 7 mai derniers, de la proposition de loi visant à « Lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur ».

Retrouvez l'intégralité du communiqué de presse [en cliquant-ici].

La Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FDSEA), en alliance avec les Jeunes Agriculteurs (JA), conserve sa position de syndicat majoritaire à l'issue des élections des Chambres d'agriculture qui se sont tenues du 15 au 31 janvier 2025, malgré un scrutin particulièrement serré. 

Hier matin, les agriculteurs aveyronnais ont été abasourdis par les propos diffamatoires tenus par Véronique Caraco-Giordano, secrétaire générale du syndicat national de l’environnement - FSU, à la radio Totem. 

Retrouvez l'intégralité du communiqué de presse en cliquant-ici.

Suite à l’appel de la FNPL début décembre, les producteurs de lait de la FDSEA et des JA Aveyron vont visiter des magasins de la GMS pour vérifier les origines des produits laitiers.
Au moment où Lactalis a réaffirmé que son désengagement n’aurait pas pour conséquence d’importer davantage de lait, et alors que, l’UE ouvre la porte aux produits importés en signant un accord - « historique » par sa violence envers les agriculteurs -avec le Mercosur, il est important d’aller d’ores et déjà vérifier ce qui se passe dans les linéaires de la grande distribution.